|
Audio
1
|
Dickens, barbe à papa et autres nourritures délectables
Il ne lit pas : il dévore. C'est d'un enfant qu'on dit cela. Mais le désir s'est prolongé. La faim, la soif, les mots. Bien sûr que l'on dévore encore, et c'est très bon. Merci pour la purée, pour le vin chaud, pour Léautaud, pour les Mustang de don Pedro, les nuits anglaises de Dickens et pour le nouveau Sempé. Dix-huit portraits d'aliments, de moments et d'auteurs aimés. Dix-huit textes courts et savoureux sur ces nourritures terrestres. Ces textes mis en bouche par Jean-Pierre Cassel évoquent irrésistiblement le goût des plaisirs simples et essentiels. On les savoure comme les mots de Jean-Pierre Cassel, narrateur exquis.
|
Delerm Philippe
|
2005 |
Texte lu Adulte |
10-06-2016 |
R DEL D |
611 |
|
Livre
1
|
Elle marchait sur un fil
Roman
A cinquante ans, Marie se retrouve seule. Telle la marée montante, la vie a effacé la trace de ses pas. Un autre chemin reste à inventer. La rencontre d'un groupe de jeunes comédiens lui ouvre de nouveaux horizons : elle montera avec eux le spectacle qu'elle avait imaginé pour son fils. Mais le rêve peut tourner à la tragédie. Les parents doivent-ils influencer le devenir de leurs enfants ? Que reste-t-il à créer lorsqu'on entame la seconde partie de sa vie ? Dans ce roman poignant qui oscille entre la Bretagne et Paris, Philippe Delerm aborde ces sujets pour la première fois, traçant le portrait fragile d'une femme en équilibre sur le fil de sa vie.
|
Delerm Philippe
|
2014 |
Roman Adulte |
21-05-2014 |
R DEL E |
417 |
|
Livre
1
|
Elle s'appelait Marine
Entre les soirées à la ferme des Sorno, la pêche, le vélo, ses visites à sa grand-mère au cimetière de Saint-Jean et le collège, la vie de Serge Delmas, élève en 5e, s'écoulait, paisible et sans histoires. Puis Marine est arrivée, juste avant les vacances de Pâques. La nouvelle habite au château du Bouscat et son père est peintre. À Labastide, il y a des commérages... On parle aussi beaucoup de la construction de la centrale. Un référendum est prévu mais les événements vont bientôt prendre un tour plus tragique. Serge prendra-t-il le parti de son amie ?
|
Delerm Philippe
|
1998 |
Roman Jeune |
01-01-2013 |
RE DEL E |
454 |
|
Audio
1
|
Je vais passer pour un vieux con
Et autres petites phrases qui en disent long
"Dans la liste des précautions oratoires, celle-ci occupe une place à part. Elle souhaite jouer la surprise par sa forme, une vulgarité appuyée qui aurait pour mission de gommer à l'avance le pire des soupçons : une pensée réactionnaire. L'interlocuteur ne doit pas se récrier avant la remarque promise. Mais une petite réticence aux commissures des lèvres signifiant "Toi, passer pour un vieux con !?" semble bienvenue.
Elle était espérée". Traquant les apparentes banalités de nos discours, nos petites phrases toutes faites, Philippe Delerm révèle pour chacune un monde de nuances, de petits travers, de rires en coin. La vérité de nos vies, en somme.
|
Delerm Philippe
|
2013 |
Texte lu Adulte |
10-06-2016 |
R DEL J |
490 |
|
Livre
1
|
Je vais passer pour un vieux con et autres petites phrases qui en disent long
Dans ce nouvel opus, P. Delerm traque les petites phrases toutes faites et les apparentes banalités du discours.
|
Delerm Philippe
|
2012 |
Roman Adulte |
17-06-2022 |
R DEL J |
406 |
|
Livre
1
|
Journal d'un homme heureux
|
Delerm Philippe
|
2016 |
Documentaire Adulte |
09-12-2017 |
848.03 DEL J |
426 |
|
Livre
1
|
L'Extase du selfie
Et autres gestes qui nous disent
Extrait de la 4ème de couverture : "Il y a des gestes qui disent l'embarras, d'autres la satisfaction de soi, certains encore le simple plaisir d'exister, là maintenant, sur cette terre. Mais tous nous révèlent, dans nos gloires comme nos petitesse, nos amours comme nos détestations : le selfie, geste roi de nos vies modernes ; le vapotage, qui relègue l'art de fumer à un plaisir furtif, presque honteux ; les hommes de pouvoir qui se grattent le desous de leur chaussette ; cette façon qu'on a parfois de tourner le volant avec la paume de sa main bien à plat ; un verre qu'on tient à la main sans le boire..."
|
Delerm Philippe
|
2019 |
Roman Adulte |
15-10-2019 |
N DEL E |
433 |
|
Livre
1
|
La Malédiction des ruines
Ca y est, le bac en poche, me voilà guide à l'abbaye de Rivière Guérard pour les vacances. C'est vrai que cette abbaye n'a rien de rassurant surtout qu'on raconte qu'elle est maudite... que Marie de Bernières y fut assassinée par son mari en 1399 et que la malédiction court toujours. Seul au coeur du mystère. Ah oui ! L'été commence bien ! Et puis, j'aime raconter aux touristes des détails croustillants sur l'histoire de l'abbaye... Mais, cette jeune fille, là qui me regarde, ressemble étrangement à... c'est bien ça, elle ressemble à Marie de Bernières...
|
Delerm Philippe
|
1997 |
Science-fiction Jeune |
01-01-2013 |
FE DEL M |
478 |
|
Audio
1
|
La Première gorgée de bière et autres plaisirs minuscules
Une trentaine de textes brefs qui déclinent ces petits riens de la vie quotidienne, véritables moments de bonheur indicibles. De la cueillette des mûres, au plaisir sans complexe de savourer un banana-split, en passant par la magie colorée des kaléidoscopes ou l'épluchage subtil des petits pois. Ces textes mis en bouche par Jean-Pierre Cassel évoquent irrésistiblement les plaisirs minuscules que chacun connaît : le dîner au jardin, à la fraîche, l'odeur beurrée des croissants chauds, les loukoums fondants de chez l'épicier arabe...
Plaisirs simples et essentiels que l'on savoure, comme les mots de Jean-Pierre Cassel, narrateur exquis.
|
Delerm Philippe
|
2008 |
Texte lu Adulte |
10-06-2016 |
R DEL P |
478 |
|
Livre
1
|
Le Portique
Roman
On aurait pu croire l'auteur de La Première Gorgée de bière désaltéré, repu, comblé par le bonheur. Son personnage, un professeur de lettres entre deux âges (toute ressemblance avec l'écrivain serait fortuite !) connaît pourtant la faille, la fêlure. De celles qui rendent soudain difficile le moindre petit rien du quotidien : "Faire la queue chez le boulanger, attendre au guichet de la Poste, échanger quelques phrases debout sur le trottoir." Alors il suffit qu'un inspecteur de l'Éducation nationale visite la classe de Sébastien pour que s'éveillent en lui ses peurs, mais aussi ses désirs les plus profonds et le goût de les défendre à nouveau. Sans se départir de son amour profond de la vie ni de son humour, Philippe Delerm sait aussi dire la brûlure de vivre, quand l'adhésion et le sens nous fuient. Philippe Delerm est l'homme des saisons et du temps qu'il fait, comme en témoignent ses titres : La Cinquième Saison, Un été pour mémoire, Autumn (prix Alain-Fournier, 1990), Il avait plu tout le dimanche… C'est sur nos tempêtes intérieures, nos dépressions, nos "gros temps" qu'il se penche (s'épanche ?) ici... avec la douceur et le réconfort qu'on lui connaît.
|
Delerm Philippe
|
1999 |
Roman Adulte |
01-01-2013 |
R DEL P |
411 |
|
Livre
1
|
Les Eaux troubles du mojito
Et autres belles raisons d'habiter sur terre
Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent".
Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus.
|
Delerm Philippe
|
2015 |
Roman Adulte |
26-09-2015 |
N DEL E |
375 |
|
Livre
1
|
Quelque chose en lui de Bartleby
Roman
Le jour où Arnold Spitzweg crée son blog, une petite révolution est en marche : l'employé de bureau discret jusqu'à l'effacement cède donc à la modernité mais sans renier ses principes. Sur la toile, à contre-courant du discours ambiant prônant l'activité outrancière, il fait l'éloge de la lenteur et décrit l'inclination naturelle à la paresse. Contre toute attente, les écrits intimes d'Arnold Spitzweg résonnent avec force chez des milliers d'internautes : on le félicite, on le sollicite, on parle de lui à la radio...
L'homme anonyme fait l'événement. Comment vivra-t-il cette subite notoriété?
|
Delerm Philippe
|
2009 |
Roman Adulte |
26-08-2017 |
R DEL Q |
420 |